Le bout du journal- L'article du journal
qu'il étude de l'homme tchécoslovaque est utilisé
pour formuler des observations et
d'élargir les thèmes de l'absurde que
Camus illustre dans L'Étranger. La
philosophie absurde de Camus affirme que les événements du
monde n'ont pas d'ordre rationnel ou signification perceptible. L'histoire
du garçon qui avait tué par son mère et sa sœur s'intègre
parfaitement dans ce système de croyance. Il n'y a aucune
raison pour que le garçon est mort. Son terrible destin ironique
n'est pas compatible avec tout système logique de l'existence
humaine. Comme son meurtre de l'Arabe, la mort du garçon est
une tragédie avec pas de sens qui défie la rationalisation.
Les cigarettes - Les cigarettes sont son
seule attachement au monde. Il est souvent vu à fumer
en observant le monde à distance. La première fois
qu'il fume une cigarette, c'est quand il regarde sur la
tombe de sa mère. Une autre fois, il fume une cigarette, c'est
quand il observe la foule de gens en dimanche. Quand
il perd son paquet de cigarettes, ce qui était dans la prison,
il se détache du monde. Ainsi, les cigarettes aussi
symbolisent l'attachement de Meursault, pas seulement pour le
monde physique, mais pour les personnes dans le monde autour de
lui.
Le crucifix - Le crucifix que le juge
ondoie à Meursault symbolise le christianisme, qui s'oppose
à la vue de Camus d'un monde absurde. Le
crucifix symbolise aussi les structures de croyance rationnelle en
général. L'insistance du juge que Meursault se tourner vers
Dieu ne représente pas nécessairement un désir que
Meursault accepter ses croyances spécifiquement autant que le
désir qu'il adopter le principe d'un univers de
sens en général. Son défi provoque Meursault
à être marqué une menace pour l'ordre social.
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